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samedi 25 novembre 2017

lanceurs d'alerte un jour protégé par la justice

C’est un message d’espoir pour tous les travailleurs sociaux et tous les lanceurs d’alerte


vue dans les facebook de carol raynaud ...



je garde le texte
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«C’est un message d’espoir pour tous les travailleurs sociaux et tous les lanceurs d’alerte». Poursuivie pour diffamation après avoir dénoncé les conditions d’accueil des enfants handicapés dans l’institut spécialisé de Moussaron (Gers), une ancienne salariée a été relaxée mardi à Toulouse.

«Ce combat est un combat pour l’humain», assure, des trémolos dans la voix, Céline Boussié, présidente de l’association Handi’Gnez-vous et ancienne aide médico-psychologique dans cet institut médico-éducatif (IME) à Condom en sortant de la salle d’audience du tribunal correctionnel de Toulouse.

«La justice vient de me relaxer. Le message que j’ai à passer aux travailleurs sociaux, à tous les professionnels, c’est : +parlez, bon sang. Libérez la parole+». «Il faut le faire, car ne pas le faire, c’est au détriment des personnes fragiles et vulnérables», a plaidé Mme Boussié, entourée par les membres de son comité de soutien qui avaient longuement applaudi la décision du tribunal quelques minutes plus tôt.

La procédure avait été lancée après les plaintes de l’établissement, Céline Boussié ayant dénoncé sur Europe 1 et LCI, en 2015, les conditions d’accueil des handicapés.

Lors de l’audience, en septembre dernier, les larmes aux yeux, elle avait raconté les maltraitances que vivaient, selon elle, les enfants dans cet IME en 2013.

Des extraits d’un reportage de Nicolas Bourgouin, pour Zone Interdite sur M6, avaient aussi été diffusés, montrant des enfants attachés, des lits trop petits, les enfants enfermés.

«Trait pour trait, c’est ce que je voyais», avait assuré Mme Boussié, 42 ans, avant de dénoncer «l’enfermement d’une jeune fille pendant 10 jours», «des coups portés aux enfants» ou «une clef au bras» à un «petit pour qu’il ouvre la bouche».

Pour autant, aucune des dix plaintes contre l’IME n’avait abouti, y compris celle qui avait été déposée par le ministère des Personnes handicapées, s’était défendue la directrice de l’institut, Aurélie Doazan, lors d’une rencontre avec un journaliste de l’AFP.

-«enquête parlementaire»-

Dans un rapport fin 2013, l’Agence régionale de santé (ARS) avait toutefois constaté de «graves dysfonctionnements» dans les conditions d’installation et de fonctionnement» de cet IME pour enfants atteints de lourds handicaps et dénoncé des «violences institutionnelles».

«Me relaxer, c’est reconnaître ce qu’ont souffert ces enfants pendant 20 ans», a fait valoir mardi Céline Boussié, appelant à ses côtés une ancienne salariée, licenciée de cet IME en 1999 pour avoir elle aussi dénoncé des maltraitances.

Au-delà de son propre cas, Céline Boussié a estimé que son combat était «un formidable exemple» pour tous les lanceurs d’alerte.

«En toute modestie, je dois être la première lanceuse d’alerte à être relaxée en France», a-t-elle pointé en rendant hommage à ses avocats. Ceux-ci, a-t-elle révélé, lui ont «offert les frais de procédure», alors que «quand on est lanceuse d’alerte, c’est compliqué de se défendre car les frais de procédure coûtent cher».

Après la décision du tribunal, «il est évident qu’on va demander une enquête parlementaire», a poursuivi celle qui s’était présentée aux élections législatives en juin sous les couleurs de La France Insoumise (LFI), dans le Lot-et-Garonne.

Une enquête parlementaire qui pourrait porter «sur la maltraitance mais aussi sur la problématique des lanceurs d’alerte», a précisé le député LFI de l’Ariège, Michel Larive, membre du comité de soutien de Mme Boussié.

Des lanceurs d’alerte «qui sont condamnés mais qu’on souhaiterait plutôt protéger», a dit M. Larive.

«Aujourd’hui, on condamne ceux qu’on doit honorer, c’est un peu dommage», a-t-il conclu.

Dans la même procédure, le tribunal a également relaxé Wendy Bouchard, journaliste à Europe 1, la station sur laquelle Céline Boussié avait notamment tenu ces propos.

Lors de l’audience de septembre, le parquet n’avait demandé aucune peine contre les prévenus.

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samedi 4 novembre 2017

nouvelle entrée du Cap d'Agde circulation difficile

nouvelle entrée du Cap d'Agde circulation difficile




hier 3 novembre 2017 j'ai failli me faire rentrer dedans dans l'énorme rond point à l'entrée du Cap d’Agde ... les gens doublent dans le rond point ... et se rabatte pour continuer vers le centre ville a droite ( double voie )  ... et je pile avec mon clignotant bien a gauche ... je laisse passer le fou et continue a droite bien forcé ... j'ai freiné fort et braqué a droite pour laisser passer ... bref n'importe quoi !!! 


ou je devient maladroit ou c'est mal foutu ? ...
je trouve cette nouvelle entrée fait à la va vite et sans moyens ni étude ... des ronds point ... des passages piétons un peu partout ... sur des ligne droites !!! 
pas de passerelles, pas de ponts de tunnels rien ...  trop de circulation ... et on est en octobre !!!


l’occasion de regarder en arrière ..

après la pétition de Alain Gérard

16 février 2016

et de fil en aiguille ... 

l'auteur  surnommé : ALAINANDRE3
est prolifique sur Médiapart
pas moins de 1031 billets ...

et celui-ci 

20 JUIL. 2017 PAR ALAINANDRE3 BLOG : NATURISME CAP D'AGDE
Quand l'immobilier fait la fortune d'un maire LR et de sa compagne !



















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texte de la pétition d'Alain gérard sur change;org
Un magnifique espace vert boisé, classé au POS depuis plus de trente ans, situé à l'entrée de L'Île des loisirs au Cap d'Agde ( Hérault) est amené à disparaître au profit de 380 logements de luxe et ce malgré son  classement en zone bleue inondable avec tous les risques que cela comporte comme vu très récemment dans l'actualité.  Cet espace constitue un  rempart végétal  entre les nuisances sonores de l'Île et la zone urbanisée et  sert de passage pour la migration des oiseaux ainsi qu'une zone de  repos pour la faune. Sa disparation constituerait par conséquent un drame écologique avec le dernier espace vert du secteur  détruit au profit d'un promoteur privé.


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Agde : polémique autour de l'emploi de la compagne du maire, Gille d'Ettore

 il y a 1 heure  0 MÉLISSA ALCOLÉA

 Gilles d'Ettore se défend de tout enrichissement.

ARCHIVES

TWITTER 

La compagne du maire, Gilles d'Ettore, a été embauchée par le co-promoteur d'un luxueux projet immobilier du Cap-d'Agde.

C'est un profil Facebook que les fins observateurs n'ont pas manqué de relever. Et d'épingler. Ce profil est celui de la compagne du maire d'Agde Gilles d'Ettore. En ce début d'été, et depuis quelques semaines, cette dernière, qui était auparavant employée municipale, a affiché ses nouvelles fonctions : “commerciale immobilier à Helyxir promotion”.

 Co-promoteur d'un luxueux projet immobilier

Or Helyxir groupe - jeune société basée à Saint-Georges-d'Orques - est le co-promoteur avec Kaufman et Broad du luxueux projet immobilier baptisé Iconic (90 millions d'euros, 200 logements) signé par l'architecte Jean-Michel Wilmotte pour le Cap-d'Agde. Un projet présenté le 23 juin dernier au cœur de la station. Et rendu possible grâce à la vente, par la Ville d'Agde, de deux hectares de terrains publics pour la somme de 10,4 millions d'euros.

En tant que co-promoteur, Helyxir aura en particulier pour mission la commercialisation d'appartements de haut standing, a-t-on appris lors de la présentation du projet. Pour les détracteurs de Gilles d'Ettore, il n'en fallait guère plus pour s'interroger : la compagne du maire ne tirerait-elle pas un profit personnel, via les commissions sur les ventes, de ce programme retenu par la Ville d'Agde ? En pleine réforme sur la moralisation de la vie politique et après l'affaire Ferrand, la question se doit en effet d'être mise sur la table. Même si selon Gilles d'Ettore, il n'y a là rien de répréhensible ou d'illégal et qu'on s'attaque à sa vie privée.

"L'intérêt général est-il bafoué ?"

"Je vis seul", se justifie-t-il. "Elle a répondu à une offre et a été recrutée sur ses qualités par une société qui après-coup s'est associée à Kaufman. Est-ce délictuel ?" "Elle touche un salaire de cette société mais je ne m'enrichis pas. L'intérêt général est-il bafoué ? Non." Par ailleurs, "pour l'instant, elle ne touche aucune commission, elle fait de la com' et sera aussi sur d'autres projets que celui du Cap." Et le premier magistrat de pointer du doigt une orchestration politique menée par le FN agathois.

À chacun d'en juger. À moins que la justice décide de se saisir du dossier. Un courrier a en effet été envoyé à ce sujet au procureur de la République de Montpellier  par Jean-Louis Cousin, responsable FN sur le canton d'Agde.

#Helyxir Groupe restait injoignable ce mardi.



Jean-Louis Cousin, responsable FN : "Ça passe très mal"

"On a été alertés par énormément de personnes", explique Jean-Louis Cousin, responsable FN du canton d’Agde et qui vise la mairie en 2020. "C’est un peu gros. Au niveau moral, on n’est pas bon." "La Ville vend les terrains et la concubine vend les logements... Ça passe très mal." "Bien sûr que je suis à la conquête de la mairie et dénoncer ces dysfonctionnements fait partie du jeu dans le but de proposer des solutions", assume-t-il. 

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jeudi 2 novembre 2017

une page entière de pub des hlm contre macron signer la pétition

une page entière de pub des hlm contre macron signer la pétition



voici la pub dans l'obs ... n 2764 du 22 10 2017 




c'est quoi ca ? ... facile de faire signer une pétition 
qui se nomme : 
Sauvons le logement social

le vrai titre en fait Toucher aux APL c'est toucher a la solidarité nationale C'est toucher a la France

il est vrai que la baisse des apl c'est une pas très malin ... 
la question qui peut ce payer une si grosse pub ? ... et pourquoi ???

j'ai pas la réponse mais je garde ca ... la photo de la pub ... trop drole ...

mon petit doigt me dit que ce sont les socialistes ... et un cadeau de l'obs ? 

l'adresse du site 





 le texte ...

SAUVONS LE LOGEMENT SOCIAL
Appel des élus locaux pour le logement social
Congrès de l’Union sociale pour l’habitat à Strasbourg
La stratégie logement du Gouvernement met un coup d’arrêt brutal aux politiques locales de l’habitat mises en œuvre par l’ensemble des collectivités territoriales (communes, départements, intercommunalités, régions).
Nous réaffirmons notre volonté de protéger durablement les locataires, le patrimoine Hlm, les capacités d’investissement des bailleurs et l’emploi local.
Nous souhaitons poursuivre, sur nos territoires, les politiques partenariales de l’habitat qui réunissent les locataires, les bailleurs, les collectivités locales, l’Etat, les promoteurs, les entreprises de constructions au service du logement pour tous, de l’aménagement et du développement de tous les territoires.
L’application concrète des mesures annoncées par le Gouvernement déstabilise l’équilibre financier des organismes et fait peser un risque majeur sur les garanties d’emprunt accordées par les collectivités locales. Concrètement, nous serons contraints, à brève échéance, de ne plus garantir les emprunts des organismes.
Les conséquences à court terme sont :
-          L’arrêt de la construction neuve de logements ;
-          L’interruption des programmes de réhabilitation et de rénovation urbaine.
Par ailleurs, nous alertons sur l’impact économique des mesures gouvernementales qui conduira à la destruction de plus de 300 000 emplois locaux dans le monde du bâtiment et de l’immobilier.
Nous affirmons que ces mesures gouvernementales vont à l’encontre des objectifs affichés d’augmentation du nombre de logements.
Nous sommes déterminés à agir pour continuer à construire et faire vivre dans nos territoires.
Les collectivités locales, présentes au Congrès Hlm, demandent l’arrêt des mesures annoncées pour engager un dialogue approfondi et sans tabous.


le texte sur le site 
http://www.union-habitat.org/espace-presse/communiqu%C3%A9s-de-presse/le-mouvement-hlm-demande-le-retrait-des-dispositions-pour-le

Accueil » Espace presse » Communiqués de presse » Le Mouvement Hlm demande le retrait des dispositions pour le logement social dans le PLF
28.09.2017
Le Mouvement Hlm demande le retrait des dispositions pour le logement social dans le PLF

Le Mouvement Hlm, dans une résolution votée à l'unanimité à l'issue du Congrès de Strasbourg, appelle au retrait des dispositions prévues pour le logement social dans le projet de loi de finances 2018


Le Mouvement Hlm réuni en congrès à Strasbourg s'oppose aux dispositions relatives au logement prévues dans le projet de loi de finances présenté mercredi 27 septembre 2017 en Conseil des ministres.

Le Président de la République et le Gouvernement confirment et amplifient leurs attaques contre le logement social. L'exécutif s'attaque aux principes mêmes de la République : l'égalité, la solidarité, et la justice, mettant en cause, avec le logement social, un pilier fondamental du pacte républicain, dont le Président de la République a la garde.

Sous couvert de lutte contre les déficits publics, en baissant de 1,5 milliard d'euros les APL des locataires du parc social, l'exécutif mène une attaque idéologique contre le modèle du logement social, ses 11 millions de locataires, celles et ceux qui ont ou auront besoin d'un logement social, d'un logement à un prix inférieur à celui du marché.

Par ailleurs, la suppression de l'APL « accession » pour les nouveaux accédants et celle du prêt à taux zéro pour la construction dans 93% des communes (zones B2 et C) sont un coup sans précédent porté à l'accession sociale à la propriété.

Enfin et de manière totalement démagogique, le Gouvernement entend obliger les bailleurs sociaux à opérer des baisses de loyers encore supérieures à la baisse des APL. En affaiblissant encore un peu plus les moyens des organismes, le Gouvernement pénalisera davantage les locataires Hlm et les personnes en attente d'un logement social, mais également les entreprises du bâtiment, qui verront leur activité directement impactée, ainsi que les collectivités locales, qui garantissent la dette des organismes Hlm. Au-delà des 80 000 salariés du secteur Hlm, c'est l'ensemble du secteur professionnel de la construction qui sera touché.

Le Mouvement Hlm confirme son refus de reprendre la discussion sur la base de ces dispositions. Elles mettent en péril le logement social et rendent totalement incompréhensible la stratégie du Gouvernement en matière de logement. Dans ces conditions, il n'y aura pas de « choc de l'offre ».

Le Mouvement Hlm appelle au retrait immédiat de ces dispositions et décide d'alerter les élus locaux, les parlementaires et l'ensemble des locataires, sur les dispositions et leurs conséquences dramatiques.

Pour Jean-Louis Dumont, président de l'Union sociale pour l'habitat, « le projet présenté par le Gouvernement n'est pas un projet pour le logement. Il n'est guidé que par un dogme budgétaire macro-économique, il ne connaît pas les territoires, leurs dynamiques et les personnes. Nous en appelons à une véritable politique du logement, en concertation avec les acteurs. »