Rechercher dans ce blog

vendredi 30 septembre 2016

pisser debout ou assis vespasienne et urinoirs public utilisation tuto

pisser debout ou assis
uriner assis islam
faire pipi debout pour les femme
meilleure position pour uriner
garçon pipi assis



il y a des lieux public ou le choix pisser debout ou assis ne semble pas proposé pas permis


ou l'on apprend que les vespasienne sont une invention francaise


pisser debout ou assis les vespasienne public semble répondre à la question
en posant la même question a Google le débat est plus large.



d'abord la santé 

Pour leur santé, les hommes doivent-ils uriner debout ou assis ?

voici une phase extraite d'un très bon article du monde en 2014

Comme le disait Pierre Desproges, « tout dans la vie est une affaire de choix, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin ». Et, entre ces deux extrémités de l’existence s’insère, pour la moitié masculine de l’humanité, un autre dilemme : faut-il faire pipi debout ou assis ? Lesquels préservent le plus leur santé, ceux qui, très majoritaires en Occident, restent droits dans leurs bottes ou ceux qui, comme on le constate plus couramment en Asie, s’asseyent voire s’accroupissent pour uriner ?

la prostate semble créer débat ... masturbation ... et autres solution fleurissent sur le net ...

quelques affiches fleurissent également !!!



pisser debout ou assis tuto en photos comment faire affiches








mardi 13 septembre 2016

lutte moustique tigres et autres Languedoc EID mediterranée


lutte moustiques tigres et autres Languedoc EID mediterranée


Consulter les précédentes Newsletters de l'EID-Med.




.................................


recu ce jour par mail la newletter N°17 de sptembre 2016 


''Moustique tigre'' - Privons-le d'eau ! 

Si la saison est globalement sèche jusqu’à présent et si, tant en ce qui concerne les moustiques traditionnels issus des zones humides (Aedes caspius principalement) que les moustiques urbains (le « moustique tigre » Aedes albopictus essentiellement), l’atmosphère est plutôt calme, la chaleur et le manque de pluie ont pour conséquence un recours plus important à des mises en eau artificielles : arrosages, en ville, et irrigations, en secteurs ruraux.
Les situations urbaines doivent être surveillées avec attention, les gestes préventifs toujours à l’esprit : bâchez, couvrez, videz !...





recu ce jour par mail la newletter N°17 de sptembre 2016

................................



/////////////////////////////////



Tableaux de bord « traitements » et « risques de nuisances » 


Semaine du 29 août au 4 septembre 2016

 À l’instar du temps, la situation générale concernant la nuisance liée aux moustiques issus des zones humides moustiques (Aedes caspius) reste au beau fixe. 
Nonobstant quelques piqûres ressenties dans les périmètres intensément irrigués, le niveau global des populations de ces espèces est suffisamment bas pour que, globalement, le seuil de tolérance ne soit pas dépassé. 
Près de 550 hectares de zones humides ont été traités (74 % par avion et 26 % via les moyens terrestres), ce qui est conforme à la répartition moyenne de l’utilisation des moyens enregistrée ces dernières années. 
En zone urbaine, sur les territoires où des précipitations (orages de grêle parfois) sont tombées il y a quelques temps, on note une augmentation du niveau de population des « moustiques tigres » (Aedes albopictus), qui génèrent des nuisances diurnes pouvant être fortes par endroit. 
Plus de 1 500 gîtes larvaires ont été traités dans l’espace public avec le bio-insecticide Bti, principalement contre les larves de Culex pipiens, autre moustique urbain, traditionnel celui-là. 
Ces actions sont nécessaires, d’autant que l’élévation des températures a pour effet de stimuler leur agressivité. 
Pour les prochains jours, pas de changement notable, de façon générale : le risque de nuisance se maintient autour des milieux irrigués et, en zone urbaine, au niveau des zones pavillonnaires, notamment. Situation détaillée par département :  

Bouches-du-Rhône : 
légère nuisance crépusculaire à l’embouchure du Rhône, liée à Aedes caspius (espèce issue des zones humides littorales). Partout ailleurs, rien de très significatif, si ce n’est quelques Aedes albopictus (« moustiques tigres ») présents en ville.  

Gard : 
la nuisance liée aux moustiques issus des zones rurales irriguées reste présente sur Saint-Gilles, plutôt en dehors de la zone agglomérée, mais sans grand risque d’augmentation toutefois. Quelques « moustiques tigres » se font également sentir en ville, comme au Grau-duRoi et à Aigues-Mortes.  

Hérault : 

l’intensité des piqûres de « moustiques tigres » a quelque peu augmenté, ces derniers jours, au niveau du Montpelliérais, de Béziers et d’Agde. À l’image des départements voisins, où les irrigations vont bon train, quelques Aedes caspius sont ressentis sur le territoire de Vendres  

Aude : 
dans la continuité, les moustiques « ruraux » nés des irrigations de l’étang de Marseillette se déplacent vers les zones urbaines (Marseillette), au gré des vents. À Narbonne, on enregistre une nuisance au niveau de Sainte-Marie-de-la Mer et de la pièce d’Azam, ayant pour origine l’irrigation également. Idem à Fleury, au niveau de l’embouchure de l’Aude.  

Pyrénées-Orientales : 
risque de nuisance faible, dans les prochains jours, à Salses-leChâteau, imputable aux Aedes caspius, notamment aux abords des zones humides dont ils sont issus. La présence du « moustique tigre » augmente, tout comme le ressenti de sa nuisance par la population, notamment à Perpignan.

......................................................




/////////////////////////////////////////