Rechercher dans ce blog

vendredi 27 mars 2015

cheminots maroquains demandent retraite privilégié sncf

Des cheminots maroquains veulent la même retraite que nos privilégiés de la SNCF

Mars 2015







en fait ces marocains ( qui ont raison dans le principe ...) et leur avocats mettent le problème à l'envers ...


Ce sont  les retraite et les avantages des cheminot de la SNCF qui sont privilégies.

Non seulement envers ces Marocains ... mais envers tous les autres Français qui eux, n'ont pas non plus ... de statut particuliers.

En France oui a travail égal, les salaire et avantages ne sont pas égaux !!!


Ils disaient "travail égal, salaire égal" mais cela n'a pas été le cas."

"Les recours déposés à partir de 2005 ont tous été renvoyés en départage au fil des audiences tenues entre 2012 et 2014. Réexaminés cette fois par un bureau de départage composé des quatre membres du bureau de jugement initial et d'un juge professionnel, ils feront l'objet d'une douzaine d'audiences regroupées sur quatre jours, jusqu'à vendredi. Si les Prud'hommes leur donnaient raison,

la facture serait lourde pour la compagnie ferroviaire. "

la facture serait lourde ? pour qui ? que je sache ( à vérifier ... mais )  les retraite et autres avantage des profession a statut privilégiés sont payé par l'etat , et l'Etat c'est nous ... ou plutot nos impots ...  pour ceux qui en payent ... 
bref faux débat ...

les cheminots ne sont pas les seuls a avoir des privilèges payés par les contribuables Français , 
Fonctionnaire, Ratp, EDF, Banque ( anciennement nationalisées ) et j'en passe ...

je pense que la SNCF pour réduire les coûts exorbitant de son statut a trouvé dans les année 1970 cette solution ... embaucher de Marocains comme " contractuel " avec un contrat de droit privé , donc non SNCF et donc ils ne relèvent pas du statut particulier des cheminots évidemment beaucoup plus avantageux !!!  


voila quelques articles  à ce sujet par la presse internet en ce mois de mars 2015 

A l’origine du litige se trouve le statut des ces travailleurs «Chibanis» qui ont œuvré pour la SNCF au moment où la main d’œuvre était plus difficile à trouver. Originaire du Maroc, ces travailleurs n’avaient en effet pas le droit à l’avantageux statut de cheminot réservé aux ressortissants de l’Union européenne.


Prud'hommes : les cheminots marocains attaquent la SNCF pour discrimination
832 cheminots de nationalité ou d'origine marocaine réclament cette semaine devant le Conseil des Prud'hommes de Paris des dommages et intérêts à la SNCF qu'ils accusent de les avoir lésés en les maintenant trop longtemps dans un statut de contractuels.


Plus de 800 cheminots marocains demandent « réparation » à la SNCF
Le Monde.fr avec AFP | 23.03.2015 à 08h50 • Mis à jour le 23.03.2015 à 17h28

 copie de l'article du Monde et Afp ci dessous

"Plus de huit cents cheminots de nationalité ou d'origine marocaine demandent « réparation » à la Société nationale des chemins de fer (SNCF) pour discrimination durant leur carrière. L'affaire, jugée à partir de lundi 23 mars aux prud'hommes de Paris, traîne depuis dix ans. Certains « chibanis [“cheveux blancs”, en arabe] de la SNCF » ont assigné l'entreprise dès 2005. Renvoyés au fil des ans, leurs recours seront réexaminés par un juge professionnel chargé de départager les conseillers prud'homaux qui n'ont pas réussi à se mettre d'accord.
La plupart des plaignants ont été recrutés au Maroc au début des années 1970 par la SNCF. Embauchés comme contractuels, avec un contrat de droit privé, ils ne relèvent pas du statut particulier des cheminots. Longtemps réservé aux détenteurs de la nationalité française, mais ouvert désormais aux ressortissants européens, ce statut offre une garantie d'emploi et des avantages en matière de protection sociale et de retraite. Plus de 90 % des salariés du groupe public sont encore aujourd'hui affiliés à ce « cadre permanent ».
Lire aussi l'enquête (édition abonnés) : Les déclassés de la SNCF
Ces cheminots « ont travaillé dans des conditions difficiles, faisaient exactement les mêmes tâches que leurs collègues français au statut mais ont vu leurs carrières bloquées et ont eu des retraites moindres », plaide Me Olivier de Boissieu, l'un de leurs avocats. Les cheminots marocains, précise sa consœur Clélie de Lesquen-Jonas, « ne remettent pas en cause le statut », ils demandent l'application du principe « à travail égal, salaire égal ». Alors que « les deux tiers des cheminots au statut finissent agents de maîtrise », les Marocains ont été condamnés statutairement « à rester des agents d'exécution », dit-elle.
« On n'a pas été traités à égalité »
En face, la SNCF réfute toute discrimination entre salariés de même qualification, en fournissant un « panel » de comparaison de « plus de mille agents ». Pour l'avocat de compagnie ferroviaire, qui invoquera également la prescription des faits, « on compare l'incomparable (…) la SNCF, entreprise publique, a deux statuts pour ses salariés, la loi le prévoit comme ça », considère Me Jean-Luc Hirsch.
« On n'a pas été traités à égalité. Je ne peux pas m'empêcher de ressentir un sentiment d'humiliation », répond Ben Dali, 63 ans, l'un des porte-parole de l'Association des cheminots marocains. Avec émotion, il évoque « la souffrance des veuves marocaines quand elles ont dû s'inscrire au RMI » alors que les épouses des cheminots français « reçoivent immédiatement une pension » et « leurs enfants deviennent pupilles de la nation ». Six plaignants aujourd'hui disparus sont représentés par leurs ayant droits.
« J'ai formé des collègues qui, eux, ont évolué et sont devenus mes chefs, c'est très frustrant », témoigne un autre Marocain, toujours en activité, refoulé à plusieurs examens. Comme ce cheminot de la gare de Lyon, la moitié des 832 plaignants ont acquis un jour la nationalité française. Mais « c'était trop tard, j'étais trop vieux pour avoir le statut », réservé aux embauchés avant 30 ans.
« Leur ancienneté n'a pas été reconnue »
Malgré tout, 113 plaignants ont obtenu le statut. Ce fut « à géométrie variable », explique leur avocate. Mais « eux aussi ont un préjudice car leur ancienneté n'a pas été reconnue », selon Me Lesquen-Jonas. D'autres, restés contractuels, ont pris le ticket de départ à 55 ans offert par la SNCF dans les années 2000 avec la garantie d'une indemnité chômage jusqu'à leur retraite. « On s'est fait avoir là encore. On a compris notre douleur quand on nous a calculé notre retraite », diminuée par les trimestres manquants, dit M. Dali.
La pension de base d'un contractuel ayant cotisé quarante ans « n'atteint pas le minimum garanti aux cheminots au cadre permanent après quinze ans de service », environ 1 100 euros par mois, affirment les plaignants. Ces salariés et retraités venus du Maroc réclament en moyenne 400 000 euros de dommages et intérêts, dont la moitié au titre du préjudice de retraite. La SNCF conteste ces calculs. Les cheminots marocains optant pour le départ à 55 ans « auraient eu une retraite moins élevée s'ils avaient été au cadre permanent », affirme la compagnie, en évoquant des simulations commandées à un cabinet. Le jugement devrait être mis en délibéré."

********************************


vendredi 27 février 2015

l'obs dossier le coran laïcité est une ideologie 2015

Dans un article intéressant de l'obs du 25 02 2015, N° 2624, une phrase me marque ... " la laicité est une idéologie "  je n'y avais pas songé ? ...


 

en cherchant un peu sur internet il semblerait que ce soit un truc des religieux catholique pour ... ? emmerder les laïques.



c'est d’ailleurs l'ensemble de la Phrase qui m'a fait tiquer ... la journaliste Marie LEMONNIER, demande
" renforcer l'enseignement de la laïcité à l'école, est ce une solution ?
Réponse : Pour résoudre les difficultés, on va balancer aux croyants la laïcité ? Sauf que pour eux, la laïcité est une idéologie. etc ... "

sites divers sur " la laicité est une idéologie "


http://www.fsspx.org/fr/a_le-cardinal-ratzinger-denonce-la-derive-ideologique-de-la-laicite
la dérive de la laïcité…
« la laïcité signifie qu’il n’y a pas de religion d’Etat; elle ne signifie pas un athéisme d’Etat »


http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1320284-le-new-york-times-tacle-la-laicite-francaise-qu-ils-balaient-devant-leurs-portes.html

Le "New York Times" tacle la laïcité : la démocratie n'est pas un régime totalitaire
LE PLUS. Dans un article publié le 5 février 2015 sur son site internet, le "New York Times" s'en prend à la laïcité à la française, qualifiée de "vieille tradition". Pour Jean-Pierre Gross, enseignant, il serait temps que les critiques de tous bords en finissent avec un french-bashing qui vire à l'obsession.
Édité par Henri Rouillier

Une seule religion ... Les vacances

définition de la laïcité

Conception et organisation de la société fondée sur la séparation de l'Église et de l'État et qui exclut les Églises de l'exercice de tout pouvoir politique ou administratif, et, en particulier, de l'organisation de l'enseignement. (Le principe de la laïcité de l'État est posé par l'article 1er de la Constitution française de 1958.)
Caractère de ce qui est laïque, indépendant des conceptions religieuses ou partisanes : La laïcité de l'enseignement.

La laïcité est le principe de séparation de l’Eglise et de l’Etat. Il est l’un des grands principes reconnus par la République française. Grande liberté publique, la laïcité garantit les droits de l’homme et les protège, notamment au travers de l’implication de cette notion dans le système éducatif. L’Etat est alors neutre à l’égard des institutions religieuses, et n’y contribue pas de manière matérielle ou d’une toute autre manière.

Actualité février 2015 la formation des Imams

et oui ... sur internet et a la radio ... 
Certaines mesures (le gouvernement françai) visent également à développer la formation des imams pour
promouvoir un « Islam de France » plutôt qu’un « Islam en France ».

Après les attentats de janvier dernier, commis par de jeunes français revendiquant leur affiliation à des groupes djihadistes, le gouvernement français vient d’annoncer une série de mesures pour réorganiser les institutions représentatives de l’Islam

A mon avis .. c'est pas la solution ... mais bon je suis un vilain athée laïque extrémiste ...


A suivre ... et a finir ...
Philippe Le Bras

samedi 7 février 2015

animusic P.A.N.D.A musique video HD animations

 

Animusic HD - Resonant Chamber (1080p)



voila un genre musical ... en animation de synthèse ...
la suite  de Fantasia  de Disney ( 1940 !!! ) version 21 eme Siècle ...









mettre en 1080 ...
celle en HD 1080 ....
Animusic HD - Pipe Dream 2 (1080p)


mettre en 1080 plein ecran !!!




Animusic HD - Cathedral Pictures (1080p)


et popcorn !!!










jeudi 22 janvier 2015

simplification faire simple réalisable non

comment faire simple ... une gageure ... le gouvernement Hollande comme les précédents s'y essaye ..
Jusqu'a réaliser un site internet

FAIRE SIMPLE AVEC HOLLANDE


Vous y croyez ? ... moi pas ... pourquoi ? ... hélas mon expérience...
Les derniers gouvernement nous ont fait parvenir chacun leur façon de simplifier , pour les PME  entre autres.
Et nous n'avons vue ( je n'ai vue ), que de nouvelles contraintes ...



Et comme le dit un vieille adage Shadockien :
" Pourquoi faire simple, quand on peux faire compliqué ?  "
ou encore celui ci :
 " Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir....
En d'autres termes... Plus ça rate et plus on a de chances que ça marche... " 
qui donne en partie raison a nos gouvernement successif ...


Petite ballade sur le site http://www.faire-simple.gouv.fr/

En recherchant " capital sarl "je trouve un article qui semble intéressant dans la série le choc de simplification des entreprises ...



Réduire les impots et couts supportés dans le cadre de l'évolution de la vie d'une entreprise


- j'ai constaté les très nombreux frais supportés Pour réduire le capital d'une sarl
- Aujourd'hui beaucoup d'entreprises ne sont pas fermées du fait de ces frais
c'est toujours compliqué de savoir tous les papiers qu'il faut avoir (je suis bac + 5)

en gros il est assez simple d'ouvrir une entreprise ...
Par contre pour arrêter une SARL par exemple c'est une galère ...
Pour modifier une adresse ou le capital c'est presque mission impossible ...

qu'elle réponse apporte le site du gouvernement ? ...

la question date du 11 09 2014 
aucune réponse au 22 01 2015 .... aucune réponse d'un membre responsable du gouvernement j'entend ... en fait si voir rebondir-reprendre-transmettre-une-entreprise

2 commentaires d'internaute ... qui ne font que confirmer la question ...

ce que je pense en colère brut de décoffrage:

qu'elles réponses peut apporter le gouvernement  ? ...
aucunes ... il faudrait pour ça,  bousculer des institutions séculaires agrippés a leurs privilèges ...
Qu'elle privilège ? celui de vous prendre votre argent pour vivre sans soucis financier ...
Je pense d'abord au privilège et au pouvoir des greffes ...  
Il ont le pouvoir de vous refuser vos documents ... et de vous faire revenir plusieurs fois en passant par la case je paye les frais, annonces et autres ... le but faire tourner la caisse enregistreuse ...
qui n'a pas eu l'expérience ?  attendre son tour dans des buraux pourrie, sans siège et avec des horaires à la con ... j'arrete   ça me met en colère ...
Pouvez vous dire quelque chose ? ... non ils ont le pouvoir absolu ... celui de refuser votre dossier ... et il ne se gêne pas ...
Comme un inspecteur d'impôt ou autre représentant d'un état qui peut vous ... STOP !!!
c'est le souci d'une démocratie gouvernée par une bureaucratie ... etc ...

Les privilèges ... !!!

Réellement comment pouvoir dire ce que l'on pense ? ...
avec des institutions qui ont le pouvoir de vous démolir ...
Juges, prud’homme  , greffier, notaires, impôts, préfecture ( vos papier .. vos cartes et j'en passe .)  
En France il faut être gentil et courtois dans vos rapports avec les pouvoirs en place ...
surtout si vous n'en faite pas partie ...
Si vous avez dans vos connaissances ... grâce a votre famille et relations etc ... votre appartenance a " une famille " ... une minorité, uns castre, une secte,  ...c'est une autre histoire ...
faite jouer vos relations , amendes et autre petit tracas se font oublier ... magique ? 
et oui que faire a ça ... 
Les bon marchées , les bonnes places , les bons coups, les ententes commercial, sont pour vous ...
c'est interdit ... oui .... et de temps en temps il y a des exemples ...entente illicite, compte en suisse ...  Oui en France il y a des lois ... et c'est tant mieux ...

****************************************************************

ma réponse officiel calme et en retenue ;-)


VOTRE COMMENTAIRE *
bonjour,
j'ai indiqué je soutiens ...  oui il faut simplifier les démarche des sociétés, Sarl, Sci et autres, il me semble qui n'est pas fait de différences entre grosses ou petites sociétés.
Pourquoi ?, ... je pense qu'étant plus nombreuses ... elles rapportent plus ... et donc le " profit " des intermédiaires est important. Bon courage pour réduire le privilège de certains. Je pense, entre autres, aux Greffes ( indépendants ) etc ...
Bien sur une réduction de ces frais et obligations ont des répercutions, chômage etc... comme les annonces qui font (sur)vivre des petits imprimeurs ?  Il faut un sacré courage ... voir a ce sijet le recul sur la volonté de notre premier ministre Jean-Marc Ayrault en avril 2013 :   "  le dépôt des comptes annuels représente « une charge inutile » pour les très petites entreprises. ", que reste t il aujourd'hui de cette décision ... pas grand chose... après, ( je pense, )  la pression des lobby qui y trouvent leur compte.
Donc bon courage au(x) gouvernement(s) 
Tres égoïstement, j'ai tout a gagner a une simplification de ma paperasse.., mon plus gros poste actuellement, mis a part les charges ... , est mon comptable qui lui curieusement aime bien la complexité de mon bilan, allez comprendre ? et dans quelques années il vas me falloir cloturer ma SArl pour prendre ma retraite ... faite un effort !!! et merci de me laisser quelques sous ... mais d'ici la ...

Et pour sourire j'ai retrouvé cette adage ...
 " Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir....
En d'autres termes... Plus ça rate et plus on a de chances que ça marche... " 

cordialement
Philippe

*************************************************************

http://simplification.modernisation.gouv.fr/

REBONDIR, REPRENDRE, TRANSMETTRE UNE ENTREPRISE
10 MESURES




Le site internet www.transmettre-mon-entreprise.gouv.fr dédié à la transmission d’entreprise est en ligne depuis décembre 2013.


Consultez la base des repreneurs de l’Agence pour la création d’entreprises (APCE) le site

le site
penser a cliquer j'ai bien pris etc
et il faut s'enregistrer et ouvir un compte on s en sort pas !!!



une banque ?
Rien de tel qu’une bonne anticipation, rien de tel qu’une bonne organisation pour réussir votre transmission ; cette ambition, c’est aussi notre mission !
Carole Delga Secrétaire d'Etat chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Economie sociale et solidaire
Carole Delga
Secrétaire d'Etat chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation
et de l'Economie sociale et solidaire





samedi 17 janvier 2015

Meduses au Grau d'Agde en janvier 2015 normal ?

Plage grau d'Agde video méduses.



 

 Ce 17 janvier 2015 les grosses vagues du vent du sud nous ont amené de petites méduses sur la Plage Du Grau d'Agde...,

 pas de conséquence... les nageurs ne sont pas nombreux en cette saison ... d'ou viennent elles ? il me semble sue c'est rare hors saison, je croyais que c'était la chaleur qui les attiraient ... apres quelques recherches ils semble que ce sont des aurelia aurita .Une petite méduse peu urticante .Mais elles apparaissent en mai d'habitude ... 5 mois d'avance , le climat est vraiment perturbé non ?  



vidéo des méduses sur la plage du Grau d'Agde


voila les photos sur internet des fameuses méduses...

et les miennes


c'est bien les mêmes .. sauf que les miennes sont un peu mortes ... et aplaties








Certains les appellent les "pots", d'autres les méduses.

 Plus précisément, les disques gélatineux d'une dizaine de centimètres de diamètre qui, ces derniers jours, ont fait leur apparition dans les canaux et sur les plages, sont des aurelia aurita . Une petite méduse peu urticante (il est néanmoins déconseillé de barboter dans un banc d'aurelia) qui, outre la répulsion qu'elle génère auprès des vacanciers, pose en revanche des problèmes côté pêche professionnelle, obstruant ou alourdissant les filets posés dans l'étang. Pas de panique, donc, l'apparition des aurelia, récurrente en cette saison, est peu ragoûtante, gênante au pire, mais pas dangereuse...


lundi 15 décembre 2014

Ma Commune Ma Santé ma mutuelle

Actiom | Ma Commune Ma Santé, action de mutualisation pour l'amélioration du pouvoir d'achat




j' ai vue un reportage a la tv régionale parait que c'est vraiment moins cher d'après les personnes interviewer  ... voir les vidéos des juurnaux télévisée




 










L’offre

ma.commune.ma.sante

Ma Commune Ma santé est un contrat mutualisé de santé disponible sur l’ensemble du territoire.

C’est une offre simple :

Trois formules: économie, sécurité, confort
Une tarification -60 ans / + 60 ans quelque soit le nombre d’habitants de votre commune.
Une économie pouvant aller jusqu’à 60% en fonction de votre âge
Des tarifs fixes pour 2014 et 2015 (hors évolution de la réglementation)
Des partenaires mutualistes
Eligible aux droits ACS (Aide à la Complémentaire Santé)
Eligible à la Loi Madelin pour les Travailleurs Non Salariés


 



Ma Commune Ma Santé video france 3 Delphine Aldebert décembre 2014 




 




mercredi 3 décembre 2014

prise de dividende et charges social 2013

prise de dividende et charges social - Recherche Google

un bon article publié le 17/04/2013 à 15:36, mis à jour le 15/07/2013 à 15:36  :
http://lentreprise.lexpress.fr/droit-des-societes/le-nouveau-regime-fiscal-des-dividendes_39937.html

Autre nouvelle mesure pénalisante pour les dividendes : à compter du 1er janvier 2013, la part de ces sommes versées aux dirigeants non salariés dans les sociétés passibles de l'impôt sur les sociétés est soumise aux cotisations et contributions sociales pour la part qui excède 10 % du capital de la société et des sommes versées en compte courant *. Cette disposition vise donc les dirigeants ayant le statut social de non-salarié et notamment les gérants majoritaires de SARL.
En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/droit-des-societes/le-nouveau-regime-fiscal-des-dividendes_39937.html#TFry4LMSMi1l8yPP.99

 Des dispositions transitoires sont prévues en 2013 et 2014 pour éviter des régularisations de cotisations ultérieures trop importantes. Pour les dirigeants concernés, les dividendes soumis à cotisations devront être déclarés dans les trente jours de leur perception, selon les modalités prévues pour cotiser sur un revenu estimé au lieu des revenus de l'avant-dernière année.
En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/droit-des-societes/le-nouveau-regime-fiscal-des-dividendes_39937.html#tWL4lXYDixQC1iPI.99

 les dividendes pris en compte dans le nouveau régime fiscal sont non seulement ceux perçus par le dirigeant non salarié, mais aussi ceux perçus par son conjoint, son partenaire pacsé ou ses enfants mineurs.
En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/droit-des-societes/le-nouveau-regime-fiscal-des-dividendes_39937.html#tWL4lXYDixQC1iPI.99

* compte courant  ?
http://www.assistant-juridique.fr/definition_apport_compte_courant.jsp   7.99 € comment faire ...

http://www.petite-entreprise.net/P-3385-88-G1-le-compte-courant-associe-tour-complet-de-la-question.html

le compte courant d'associé est un compte de bilan (455000) sur lequel sont inscrits vos avoirs personnels sur la société



SUITE 2014 :
prise de dividende et charges social 2014

le senat supprime le RSI sur les dividende

Il y a quelques jours, les députés votaient l'assujettissement à cotisations des dividendes des SA et des SAS, officiellement dans un souci d'égalité avec les Gérants majoritaires de SARL.
Quelques jours plus tard, face au tollé général provoqué par cet amendement, le Gouvernement fait marche arrière et demande au Parlement de le retirer.
Ce que font sans rechigner les sénateurs lorsqu'ils sont à leur tour chargé d'examiner le projet de loi (PLFSS 2015).
Mais c'est alors que l'un d'entre eux constate : « Personne ne comprendrait que l'on puisse exonérer de cotisations sociales les dirigeants de grandes entreprises (ndlr : SA et SAS), sans faire de même pour les dirigeants de petites entreprises ou de SARL. ».
Une simple "question de cohérence" ajoute un autre...
Et c'est ainsi que, vers minuit et demi, dans la nuit du 12 au 13 novembre, les sénateurs ont purement et simplement supprimé, dans un grand élan de cohérence et d'égalité :
  • l'amendement qui visait à assujettir à cotisations les dividendes des dirigeants majoritaires des SAS et des SA ;
  • l'amendement visant également à assujettir les dividendes desconjoints des associés dans les SARL à l'I.R. (voir notre article) ;
  • l'assujettissement d'une partie des dividendes des EIRL ;
  • et même l'assujettissement des dividendes des SARL et des SELARL, respectivement institués en 2013 et en 2009.
Remarque: notons qu'ils ont oublié l'assujettissement des dividendes des SARL agricoles, en vigueur depuis cette année.
Cependant attention : les suppressions ci-dessus ne sont pas encore définitives, loin de là !
Notre joie pourrait même être de courte durée puisque, si celle concernant les SA et les SAS a été votée à la demande du gouvernement, les trois autres en revanche ont été adoptées contre l'avis de celui-ci.
"Il faudra probablement revenir à d’autres critères et observer ce qui se passe sur plusieurs années, tant il est vrai que les conditions économiques peuvent varier d’une année sur l’autre. Tout cela méritera peut-être d’autres propositions." a précisé le secrétaire d'Etat au budget, M. Christian Eckert. Mais tout en ajoutant que "lorsque les dispositions ont été prises [ndlr : en 2009 et en 2013], il n’y a guère eu de remontées de la part du secteur. Je pense donc qu’il n’y a pas lieu de revenir sur ces dispositions."
Il est donc possible et même probable que lorsque le projet de loi reviendra devant les députés, tous nos espoirs tombent à l'eau...
Nous devrions être définitivement fixés à ce sujet au début du mois de décembre.
Source : PLFSS 2015, amendement n° 17 rectifié quater, adopté le 13 novembre 2014.
Sur le même thème, lire également :
Didier Vincent


suite : 2 12 2014

PLFSS 2015 : les députés ont rétabli les cotisations sur les dividendes dans les SARL, mais pas dans les SAS


Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2015 est définitivement adopté. Recusant sa suppression par les sénateurs, les députés ont rétabli l'assujettissement à cotisations des dividendes des SARL et des SELARL.

Rien à faire : les discussions autour du Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2015, adopté en lecture définitive par l'Assemblée nationale le 1er décembre dernier, n'auront pas permis aux sénateurs et aux députés de trouver un terrain d'entente.
Tandis que les premiers avaient supprimé l'assujettissement à cotisations des dividendes des SARL et des SELARL, les seconds ont considéré qu'il n'y avait pas lieu de revenir sur ce dispositif.
Pourtant « Les personnes assujetties au RSI sont dans une situation dramatique. Alors que le chaudron est prêt à exploser, vous balayez une bonne mesure d’un revers de main. C’est inqualifiable. » a déclaré l'ancien président de l'Assemblée Nationale, Bernard Accoyer.
Par contre, le renoncement du gouvernement à l'assujettissement des dividendes des SA et des SAS a bien fait l'unanimité quant à lui.
Toutefois, il se pourrait qu'il ne s'agisse là que d'un simple répit pour les dirigeants de ces sociétés car le gouvernement entend bien revenir à la charge...
Le rapporteur du projet a en effet fait savoir qu'il comptait "travailler sur ce sujet dans les mois à venir, afin de trouver un « dispositif équilibré » qui permette d’éviter l’optimisation sociale". Mais dans ce cas, la réflexion devrait porter non seulement sur les SA et SAS, mais aussi sur les SARL.
Néanmoins, il y a tout de même une bonne nouvelle, et elle concerne les SARL à l'I.R. : l'article du projet de loi qui prévoyait d'assujettir également à cotisations la part sur les bénéfices revenant aux conjoints et aux enfants des associés majoritaires de ces sociétés (voir notre article   copie de l'article du  Publié le 4 novembre 2014 en dessous ...  ) n'a finalement pas été adopté. On n'en sera donc quitte pour une simple frayeur...
Didier Vincent



copie de l'article du  Publié le 4 novembre 2014

La situation actuelle

Dans les SARL qui ont opté pour l'impôt sur le revenu  - SARL de famille ou entre conjoints notamment - les bénéfices sont répartis entre les associés à concurrence de leur part dans le capital.

La quote-part revenant à chacun est ensuite imposable, qu'elle soit effectivement perçue ou pas, dans la catégorie des BIC ou des BNC, selon l'activité exercée par la société.

Par contre, seule est soumise jusqu'ici à cotisations la part revenant aux associés qui exercent une activité au sein de la société, généralement le ou les Gérants.

Le projet de loi

Selon un amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2015, déposé et voté avec l'aval du gouvernement, la part du bénéfice revenant au conjoint ou au partenaire de PACS, ainsi qu'aux enfants mineurs des associés assujettis aux cotisations RSI, sera elle-même assujettie à ces cotisations pour son montant qui excède 10 % du capital, des primes d’émission, et des sommes versées en compte courant par ces mêmes personnes.

Le principe sera donc le même, désormais, que pour les conjoints et enfants des Gérants majortiaires des SARL à l'I.S.

Ainsi, dans une SARL à l'I.R. constituée entre deux conjoints, c'est la quasi-totalité du bénéfice (moins les 10 % de l'apport en capital effectué par le conjoint et par les enfants mineurs) qui sera désormais soumise à cotisations, quand bien même le conjoint ne travaille pas au sein de la société.

Notons en outre que, selon toute vraisemblance, ces cotisations seront dues y compris si le bénéfice n'est pas effectivement distribué.

Entrée en vigueur

Le projet de loi incluant cet amendement a d'ores et déjà été adopté par les députés le 28 octobre dernier et sera soumis aux sénateurs prochainement.

S'il est maintenu tel quel, il s’appliquera aux cotisations dues au titre des revenus perçus à compter du 1er janvier 2015 (y compris par conséquent sur les bénéfices réalisés au titre de l'exercice clos le 31 décembre prochain).

A suivre...     ( finalement pas été adopté. On n'en sera donc quitte pour une simple frayeur... voir au dessus ...)









3 12 2014
une solution si benefice :


Gérant de SARL : les 4 conditions pour percevoir une prime exceptionnelle en fin d'année


Aucun texte de loi ne s'oppose à ce que le Gérant perçoive une prime exceptionnelle en fin d'année, qu'on l'appelle prime de bilan ou autrement. Néanmoins, cette prime doit impérativement répondre aux quatre conditions suivantes :




Qu’on l’appelle prime de bilan ou autrement, une prime exceptionnelle ne peut le cas échéant être versée au Gérant que si elle répond cumulativement aux quatre conditions suivantes :

Condition n° 1 : son montant doit être fixé par les associés

Ceci pour deux raisons : d’abord parce que sa perception, à défaut d’avoir été autorisée par les associés, pourrait constituer un abus de biens sociaux.
Ensuite  parce que, selon la doctrine fiscale, seules sont déductibles des bénéfices d'une Sarl relevant de l'impôt sur les sociétés, les rémunérations ou fractions de rémunération dont celle-ci est"juridiquement" tenue d'effectuer le versement.
Or, ne sont considérées comme telles, pour ce qui concerne les Gérants, que les rémunérations dont le principe et le montant ont été fixés par les associés, et ceci à une date antérieure à leur perception.
Il a été précisé à cet égard qu’une simple "décision verbale" des associésne suffit pas (Rép. Blanc, J.O. Déb. Sénat 23-7-1971, p. 1062). Il est donc indispensable que ceux-ci soient consultés, de la même manière que pour sa rémunération proprement dite, qu’un procès-verbal de leur décision soit établi et que celui-ci soit archivé dans le Registre des procès-verbaux de la société. La marche à suivre à ce sujet, ainsi que les modèles nécessaires sont dans notre dossier en ligne La rémunération des Gérants de Sarl.

Condition n° 2 : le Gérant ne doit pas prendre part au vote concernant une prime en sa faveur

Suite à plusieurs décisions de la Cour de cassation, on sait désormais que la rémunération du Gérant ne constitue pas une convention réglementéeet que son bénéficiaire peut donc participer au vote la concernant, fût-ce un Gérant majoritaire.
Mais par définition, une prime exceptionnelle est indépendante de la rémunération normale de la gérance. Elle peut donc à ce titre constituer une convention réglementée prévue par le Code de la Sarl (article L.223-19 CC).
En conséquence, mieux vaut la soumettre au vote des associés, et ne pas prendre part au vote soi-même.
A défaut de respecter cette procédure, les associés auraient tout loisir depoursuivre ultérieurement le Gérant en justice afin d’obtenir larestitution des sommes perçues.

Condition n° 3 : le montant de la prime doit rester « raisonnable » par rapport à la rémunération habituelle

C’est là encore une règle fiscale : même lorsqu'elle remplit les conditions ci-dessus et qu’elle est donc versée en toute légalité, une prime exceptionnelle ne doit pas avoir pour effet, afin de conserver son caractère déductible, de porter le montant total de la rémunération perçue par le Gérant au cours de l'exercice à un montant qui pourrait être considéré comme excessif par rapport à l'importance du service rendu par lui à sa société (voir à cet égard la fiche Les risques d'une rémunération trop élevée).
Or, la vigilance de l'Administration sera d'autant plus grande à cet égard que le montant de la prime sera important… a fortiori si, par pure coïncidence évidemment, il avoisine le montant du bénéfice avant impôt.

Condition n° 4 : la prime ne doit pas mettre la société en difficulté

Quand bien même son versement et son montant ont été préalablement entérinés par les associés, la rémunération du Gérant ne constitue jamais un droit acquis pour celui-ci. Et il en est de même lorsqu’il s’agit d’une prime exceptionnelle bien entendu.
En d'autres termes, alors même qu’elle répondrait aux trois conditions ci-dessus, le Gérant doit impérativement s’abstenir de se verser sa prime en l'absence de bénéfice, ou dans le cas où ce versement risquerait de mettre sa société en difficulté.
Dans le cas contraire en effet, et à supposer que les difficultés s’aggravent au point d’entraîner un dépôt de bilan, la perception de cette prime aurait tôt fait d’être considérée comme une faute de gestion par le juge, et donc d’exposer son auteur à des sanctions importantes, notamment à une action en comblement du passif de la société







vérifié 3 décembre 2014

Qu'est-ce qu'une prime de bilan ?

Il n'existe pas de définition officielle de la prime de bilan. On désigne généralement sous ce terme une prime que l'on se verse (ou que les employeurs versent à leurs salariés) en fin d'année, celle-ci étant le plus souvent liée à la raison d'un "bon bilan", c'est-à-dire d'un exercice bénéficiaire.

Prime de bilan ou dividendes, que faut-il choisir ?

La question se pose souvent, à l’approche de la clôture d’un exercice bénéficiaire, de savoir s’il ne serait pas préférable de percevoir ce bénéfice sous forme de "prime de bilan" plutôt que d'attendre pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, d'hypothétiques dividendes.
Il est vrai que, outre son immédiateté, la première solution a aussi pour avantage de diminuer le montant de l’impôt sur les sociétés.
Mais s’agit-il vraiment d’un bon calcul ?

Un choix différent selon que l'on est Gérant minoritaire ou majoritaire

Pour le Gérant minoritaire, rien ne dit  que les associés décideront de distribuer des dividendes lors de l’approbation des comptes de l’exercice. En outre, moins il possède de parts, moins sa part sur ces dividendes sera importante (à moins que les bénéfices soient répartis différemment du taux de participation dans le capital. Voir à cet égard notre dossierQuel est le bénéfice distribuable et comment déterminer la part de chaque associé ?).
Aussi, le fait d'obtenir de la part des associés l'autorisation de percevoir une prime peut s'avérer plus intéressant pour le Gérant minoritaire. Mais encore faut-il, d'une part, qu'il obtienne cette autorisation – ce qui n'est pas évident puisque sa prime aura pour conséquence de diminuer les dividendes que pourraient éventuellement percevoir les autres associés –, et d'autre part, que cette autorisation lui soit délivrée avant la clôture de l'exercice. Voir à cet égard Gérant de Sarl : les 4 conditions pour percevoir une prime exceptionnelle.
Pour le Gérant majoritaire en revanche, les problèmes éventuellement liés à la distribution des bénéfices ne se posent pas puisqu'il reste maître des décisions concernant cette distribution. C’est d’ailleurs aussi pour cette raison que la perception d’une prime par les Gérants majoritaires est surveillée de très près par les agents du fisc, surtout si son montantavoisine celui du bénéfice.

L’impact du mode d’imposition des dividendes

N'étant imposables qu'après application d'un abattement de 40 %, lesdividendes sont nettement plus intéressants qu'une prime sur le plan fiscal puisque celle-ci ne bénéficie que de l'abattement de 10 % pour frais professionnels.
Côté charges sociales, les dividendes sont également plus intéressants pour les Gérants minoritaires. Car, alors que les cotisations sur une prime avoisinent les 55 % de son montant brut (charges salariales + charges patronales), celles portant sur les dividendes s'élèvent à 15,5 %, dont une partie (5,1 %) est déductible des revenus de l’année suivante.
En revanche, pour les Gérants majoritaires, il n'y a plus guère d'avantage à privilégier les dividendes sur le plan social puisque la part des dividendes qui excède 10 % du capital est désormais intégrée dans l'assiette de calcul des cotisations sociales (que l'on relève du RSI ou de la MSA).
Néanmoins, ces cotisations peuvent semble-t-il être prises en charge par la société (bien que ceci n'ait toujours pas été confirmé par l'Administration) et l'avantage fiscal reste intact. En définitive donc, percevoir le bénéfice sous forme de dividendes plutôt que sous forme d’une prime de bilan reste plus intéressant après déduction des charges et impôts.
En outre cela présente l'avantage de conserver un bilan bénéficiaire, ce qui peut être “rassurant” pour les  fournisseurs et autres créanciers de la société.
Ceci dit, il est rappelé que pour bénéficier des avantages ci-dessus, les dividendes doivent être distribués dans le strict respect du formalisme prévu à cet égard (voir notre dossier Comment procéder à la distribution des bénéfices dans les SARL).
En d’autres termes, la distribution ne peut avoir lieu qu’après la clôture de l’exercice, et à condition d’avoir été décidée par l’assemblée annuelle pour l’approbation des comptes. Tout dividende perçu avant la fin de l’exercice serait en effet considéré comme une rémunération, et tout manquement au formalisme rappelé ci-dessus ferait perdre le bénéfice de l’abattement de 40 %.